Les abris antiatomiques font très années 60. La grande peur, à cette époque, était de disparaître au milieu d’un monstrueux champignon thermonucléaire. Dans ce film, un particulier, vivant à notre époque en zone rurale, s’en construira un pour se soulager de ses angoisses à propos des communistes, des terroristes et des extraterrestres. Ce film m’a semblé très intéressant, le suspense étant constant, mais la fin ne me semblait pas à la hauteur du reste du film : une fin loufoque malheureusement. Ce thème des survivalistes ne m’était pas inconnu, car même au théâtre il avait déjà fait l’objet d’un spectacle (Après la fin/ Dennis Kelly 2005). Je n’ai pas regretté mon déplacement, car 80 % de ce film m’a plu, seule la fin aurait nécessité d’être retravaillée, à mon humble avis. Un gros merci à Cinéma Montréal pour le laissez-passer pour cette présentation d’avant-première.
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